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Séminaire Empreintes sonores de la MSHS-T - "Sexisme sur la voix publique"
Publié le 6 octobre 2025 – Mis à jour le 6 octobre 2025
le 17 octobre 2025 Toulouse - Campus du Mirail
10h30-12h30
Maison de la recherche, salle F223
Intervenante :
Marlène Coulomb, Professeure émérite, Université Toulouse - Jean Jaurès
« Sexisme sur la voix publique »
Contacts pour le LISST : Julie MÉTAIS & Thibault CHRISTOPHE
Portage du Séminaire « Empreintes sonores. Approches interdisciplinaires de la vie des collectifs par les sons » :
MSHS-T avec les laboratoires LISST-CAS, LRA et LADYSS
Résumé :
Réputées bavardes dans l’espace privé (est-ce si sûr ?), les femmes furent longtemps interdites de parole publique. Aujourd’hui encore, alors qu’elles sont autorisées voire incitées à s’exprimer, leurs voix sont critiquées, décriées, huées, comme si à travers elles, il s’agissait toujours de contester la légitimité et la place des femmes en politique. Dire que leurs voix sont inaudibles ou trop aigües voire hystériques, c’est dire des femmes qu’elles sont « de trop » dans cette arène longtemps exclusivement masculine. Nous sommes donc parties à la recherche de ces voix, certaines bien connues, d’autres moins, en privilégiant un lieu – l’Assemblée nationale –, une fonction – porte-parole du gouvernement –, une situation – le parcours et le débat présidentiels.
Maison de la recherche, salle F223
Intervenante :
Marlène Coulomb, Professeure émérite, Université Toulouse - Jean Jaurès
« Sexisme sur la voix publique »
Contacts pour le LISST : Julie MÉTAIS & Thibault CHRISTOPHE
Portage du Séminaire « Empreintes sonores. Approches interdisciplinaires de la vie des collectifs par les sons » :
MSHS-T avec les laboratoires LISST-CAS, LRA et LADYSS
Résumé :
Réputées bavardes dans l’espace privé (est-ce si sûr ?), les femmes furent longtemps interdites de parole publique. Aujourd’hui encore, alors qu’elles sont autorisées voire incitées à s’exprimer, leurs voix sont critiquées, décriées, huées, comme si à travers elles, il s’agissait toujours de contester la légitimité et la place des femmes en politique. Dire que leurs voix sont inaudibles ou trop aigües voire hystériques, c’est dire des femmes qu’elles sont « de trop » dans cette arène longtemps exclusivement masculine. Nous sommes donc parties à la recherche de ces voix, certaines bien connues, d’autres moins, en privilégiant un lieu – l’Assemblée nationale –, une fonction – porte-parole du gouvernement –, une situation – le parcours et le débat présidentiels.